Création 2017
1968, en pleine guerre du Vietnam, les émeutes raciales embrasent l’Amérique. Le couple Romain Gary et Jean Seberg s’entiche d’un chien errant, qui se révèle être le meilleur ennemi de l’Homme. Que faire de cet animal haineux engendré par la bêtise humaine ? Ce drame domestique déclenché par le chien fait écho à l’Histoire en marche et la lutte pour les droits civiques.
1968, in the midst of the Vietnam War, racial riots embrace America. The Roman couple Gary and Jean Seberg become infatuated with a stray dog, which turns out to be the best enemy of the Man. What will they do about this hateful animal engendered by human stupidity? This domestic drama triggered by the dog echoes to the moving history and the struggle for civil rights.
Les Anges au Plafond
Le nom de leur compagnie évoque l’irruption discrète de créatures célestes dans notre réalité. Les spectacles de Camille Trouvé et Brice Berthoud oscillent, en fait, entre le mythe et le réalisme, entre l’intime et la grande histoire. Dans leur premier opus à quatre mains, Le Cri quotidien, en 2000, une ville entière surgissait des pages d’un journal. Avec Une Antigone de Papier et OEdipe sur le fil, des personnages de tissu ou de papier donnaient à la tragédie les couleurs d’un conte épique. Les « Anges » se sont ensuite inspirés du destin mythique de Camille Claudel dans un diptyque, Les Mains de Camille et Du Rêve que fut ma vie, avant de s’intéresser à la vie romanesque de l’écrivain Romain Gary, avec R.A.G.E. Epaulés par une équipe de musiciens, constructeurs et scénographes, les metteurs en scène et marionnettistes ont fait du papier leur matière de prédilection. Aux yeux de Camille Trouvé qui fabrique les marionnettes, ce matériau pauvre et éphémère qui se prête à maintes transformations, exprime la fragilité humaine. Il ne faut pourtant pas s’y tromper : la légèreté qui traverse les spectacles des Anges au Plafond n’interdit pas la gravité, en particulier lorsqu’ils abordent les liens entre l’histoire intime et les questions sociales et politiques.
Avec : Brice Berthoud, Arnaud Biscay en alternance avec Guilhem Flouzat, Tadié Tuené et Yvan Bernardet
Mise en scène : Camille Trouvé assistée de Jonas Coutancier
Adaptation : Brice Berthoud et Camille Trouvé
Dramaturgie : Saskia Berthod
Marionnettes : Camille Trouvé, Amelie Madeline et Emmanuelle Lhermie
Scénographie : Brice Berthoud avec Margot Chamberlin
Musique : Arnaud Biscay et Emmanuel Trouvé
Création sonore : Antoine Garry
Création lumière : Nicolas Lamatière
Création images : Marie Girardin et Jonas Coutancier
Création costume : Séverine Thiébault
Mécanismes de scène : Magali Rousseau
Soutien précieux : Morgane Jéhanin
Construction du décor : Les Ateliers de la MCB°
Coproduction : MCB° – Scène natio-nale de Bourges, Bateau Feu – Scène nationale de Dunkerque, La Maison des Arts du Leman, Scène conventionnée de Thonon-Evian-Publier, Le Tangram – Scène nationale Evreux Louviers, Culture Commune – Scène nationale du Bassin minier du Pas de Calais, Théâtre 71 – Scène nationale de Malakoff
Soutiens : ARCADI Île-de-France, SPEDIDAM et ADAMI
Photo : © Vincent Muteau
White dog
Mardi 21
14h30 • 20h30
Création 2017
1968, en pleine guerre du Vietnam, les émeutes raciales embrasent l’Amérique. Le couple Romain Gary et Jean Seberg s’entiche d’un chien errant, qui se révèle être le meilleur ennemi de l’Homme. Que faire de cet animal haineux engendré par la bêtise humaine ? Ce drame domestique déclenché par le chien fait écho à l’Histoire en marche et la lutte pour les droits civiques.
1968, in the midst of the Vietnam War, racial riots embrace America. The Roman couple Gary and Jean Seberg become infatuated with a stray dog, which turns out to be the best enemy of the Man. What will they do about this hateful animal engendered by human stupidity? This domestic drama triggered by the dog echoes to the moving history and the struggle for civil rights.
Les Anges au Plafond
Le nom de leur compagnie évoque l’irruption discrète de créatures célestes dans notre réalité. Les spectacles de Camille Trouvé et Brice Berthoud oscillent, en fait, entre le mythe et le réalisme, entre l’intime et la grande histoire. Dans leur premier opus à quatre mains, Le Cri quotidien, en 2000, une ville entière surgissait des pages d’un journal. Avec Une Antigone de Papier et OEdipe sur le fil, des personnages de tissu ou de papier donnaient à la tragédie les couleurs d’un conte épique. Les « Anges » se sont ensuite inspirés du destin mythique de Camille Claudel dans un diptyque, Les Mains de Camille et Du Rêve que fut ma vie, avant de s’intéresser à la vie romanesque de l’écrivain Romain Gary, avec R.A.G.E. Epaulés par une équipe de musiciens, constructeurs et scénographes, les metteurs en scène et marionnettistes ont fait du papier leur matière de prédilection. Aux yeux de Camille Trouvé qui fabrique les marionnettes, ce matériau pauvre et éphémère qui se prête à maintes transformations, exprime la fragilité humaine. Il ne faut pourtant pas s’y tromper : la légèreté qui traverse les spectacles des Anges au Plafond n’interdit pas la gravité, en particulier lorsqu’ils abordent les liens entre l’histoire intime et les questions sociales et politiques.
Avec : Brice Berthoud, Arnaud Biscay en alternance avec Guilhem Flouzat, Tadié Tuené et Yvan Bernardet
Mise en scène : Camille Trouvé assistée de Jonas Coutancier
Adaptation : Brice Berthoud et Camille Trouvé
Dramaturgie : Saskia Berthod
Marionnettes : Camille Trouvé, Amelie Madeline et Emmanuelle Lhermie
Scénographie : Brice Berthoud avec Margot Chamberlin
Musique : Arnaud Biscay et Emmanuel Trouvé
Création sonore : Antoine Garry
Création lumière : Nicolas Lamatière
Création images : Marie Girardin et Jonas Coutancier
Création costume : Séverine Thiébault
Mécanismes de scène : Magali Rousseau
Soutien précieux : Morgane Jéhanin
Construction du décor : Les Ateliers de la MCB°
Coproduction : MCB° – Scène natio-nale de Bourges, Bateau Feu – Scène nationale de Dunkerque, La Maison des Arts du Leman, Scène conventionnée de Thonon-Evian-Publier, Le Tangram – Scène nationale Evreux Louviers, Culture Commune – Scène nationale du Bassin minier du Pas de Calais, Théâtre 71 – Scène nationale de Malakoff
Soutiens : ARCADI Île-de-France, SPEDIDAM et ADAMI
Photo : © Vincent Muteau