Alors qu’une éclipse solaire imminente est au centre de toutes les discussions, Didi, 15 ans, semble à mille lieues de l’effervescence. Perturbée par une étrange fumée qui émane de son corps et accablée par le regard des autres, Didi se replie, espérant que le monde l’oublie un instant. L’émission radio qu’elle écoute constitue pour elle le seul lien ténu avec le monde extérieur. Quelle énergie nous porte chaque jour ? Comment trouver la bonne distance entre soi et le monde ? Didi écoute les auditrices et auditeurs qui s’interrogent à l’antenne. Représentée par une marionnette grandeur nature, elle s’évade dans son univers intérieur : un cocon imaginaire figuré par des images animées dessinées, projetées sur grand écran. Comment ce voyage introspectif, cette apnée nécessaire mais transitoire, lui permettra-t-elle de refaire surface ? En s’intéressant au repli sur soi, phénomène social qui touche notamment les ados, le collectif s’est nourri pour l’écriture de témoignages d’adultes et de jeunes. Le printemps du machiniste ne se contente pas de dresser un constat, il formule un credo : le remède, c’est le collectif.

La compagnie

Le printemps du machiniste est un collectif pluridisciplinaire composé de six artistes. Avec la marionnette comme principal outil, il pense chaque spectacle comme une occasion de réfléchir collectivement à ce que ses membres ressentent et ce en quoi ils croient. Ses écritures, théâtrales, musicales et visuelles, s’inspirent des récits et témoignages des personnes rencontrées et des territoires investis. En 2018 et 2021, le collectif met en scène le diptyque Les Présomptions (1 et 2), sur un texte de Guillaume Poix, pour interroger la relation à l’autre, notamment les rapports femmes-hommes. En 2022, le collectif ouvre un cycle de travail auprès des adolescentes et des adolescents autour du repli sur soi, donnant naissance aux créations Le Prélude au foutu zoo (2024) et Dans mon foutu zoo (2025). Il est associé à L’Hectare – Territoires vendômois – CNMa et au Théâtre Le Passage, scène conventionnée d’intérêt national Art et création à Fécamp.

printempsdumachiniste.com

Distribution

Production : Collectif Le printemps du machiniste
Création et interprétation :
Guillemine Burin Des Roziers, Dorine Dussautoir, Noé Mercier et Louis Sergejev
Textes : Louis Sergejev
Régie vidéo : Leyokki
Dessins et animations : Dorine Dussautoir
Scénographie : Guillemine Burin des Roziers
Composition musicale : Noé Mercier
Création lumière : Arthur Gueydan
Construction des marionnettes : Cédric Robert et Louis Sergejev
Administration et production : Marine Chatenet et Eva Garrel

Dans mon foutu zoo

Collectif Le printemps du machiniste
L’adolescence embrasée
Lieu : Théâtre Silvia Monfort
106 rue Brancion, 75015 Paris
Durée : 55 minutes

Tarifs Théâtre Silvia Monfort

Création 2025

du 12 au 21 février

Du mercredi au vendredi • 19h30
Samedi • 18h

Représentations scolaires
Mardi 17 février • 14h30
Jeudi 19 février • 14h30

Réserver

Alors qu’une éclipse solaire imminente est au centre de toutes les discussions, Didi, 15 ans, semble à mille lieues de l’effervescence. Perturbée par une étrange fumée qui émane de son corps et accablée par le regard des autres, Didi se replie, espérant que le monde l’oublie un instant. L’émission radio qu’elle écoute constitue pour elle le seul lien ténu avec le monde extérieur. Quelle énergie nous porte chaque jour ? Comment trouver la bonne distance entre soi et le monde ? Didi écoute les auditrices et auditeurs qui s’interrogent à l’antenne. Représentée par une marionnette grandeur nature, elle s’évade dans son univers intérieur : un cocon imaginaire figuré par des images animées dessinées, projetées sur grand écran. Comment ce voyage introspectif, cette apnée nécessaire mais transitoire, lui permettra-t-elle de refaire surface ? En s’intéressant au repli sur soi, phénomène social qui touche notamment les ados, le collectif s’est nourri pour l’écriture de témoignages d’adultes et de jeunes. Le printemps du machiniste ne se contente pas de dresser un constat, il formule un credo : le remède, c’est le collectif.

La compagnie

Le printemps du machiniste est un collectif pluridisciplinaire composé de six artistes. Avec la marionnette comme principal outil, il pense chaque spectacle comme une occasion de réfléchir collectivement à ce que ses membres ressentent et ce en quoi ils croient. Ses écritures, théâtrales, musicales et visuelles, s’inspirent des récits et témoignages des personnes rencontrées et des territoires investis. En 2018 et 2021, le collectif met en scène le diptyque Les Présomptions (1 et 2), sur un texte de Guillaume Poix, pour interroger la relation à l’autre, notamment les rapports femmes-hommes. En 2022, le collectif ouvre un cycle de travail auprès des adolescentes et des adolescents autour du repli sur soi, donnant naissance aux créations Le Prélude au foutu zoo (2024) et Dans mon foutu zoo (2025). Il est associé à L’Hectare – Territoires vendômois – CNMa et au Théâtre Le Passage, scène conventionnée d’intérêt national Art et création à Fécamp.

printempsdumachiniste.com

Distribution

Production : Collectif Le printemps du machiniste
Création et interprétation :
Guillemine Burin Des Roziers, Dorine Dussautoir, Noé Mercier et Louis Sergejev
Textes : Louis Sergejev
Régie vidéo : Leyokki
Dessins et animations : Dorine Dussautoir
Scénographie : Guillemine Burin des Roziers
Composition musicale : Noé Mercier
Création lumière : Arthur Gueydan
Construction des marionnettes : Cédric Robert et Louis Sergejev
Administration et production : Marine Chatenet et Eva Garrel