Exposition : Plumes, poils, roches... et autres organismes résistants

Pendant son enfance, lors de promenades dans les marais sauvages de l’Île de Ré avec son grand-père, Ombline de Benque faisait toujours la même promenade dans un silence méditatif. Ce rituel lui a appris à s’émerveiller du renouvellement permanent du paysage. Ombline de Benque cherchait depuis un moyen de rendre hommage à la joie que lui procure l’observation des milieux naturels. Dès qu’elle a commencé la gravure, elle a eu une fascination pour les secondes impressions qu’on appelle les Fantômes. Ces impressions révèlent la couche restante d’encre et transforment l’image au point qu’une autre histoire se raconte.