Création 2016 – France
À partir de 6 ans
Thimothéa, jeune femme bien élevée, princesse de son état, découvre, ébahie, que l’histoire de sa vie a été reléguée au fond d’une poubelle ! Indignée, elle décide de corriger cette erreur et se raconte : à l’âge de vingt ans, la voilà poussée au mariage par ses parents. C’est ainsi que, pleine de bonne volonté, elle entreprend de rechercher l’amour et, selon la coutume, de rencontrer une flopée de courtisans. Mais cela ne se passe pas tout à fait comme prévu…
La pétillante Caroline Guyot porte le spectacle sur ses épaules dans une mise en scène tonique de Johanny Bert. Elle campe cette héroïne naïve et déterminée en quête de sentiments vrais, donnant la parole aux autres personnages au travers d’effigies immobiles.
Les sculptures fabriquées par la plasticienne Vaïssa Favereau à partir d’objets composites, apportent à ce conte moderne un style cartoon. Le texte prend comme point de départ le roman pour la jeunesse écrit par Alice Brière-Haquet, La princesse qui n’aimait pas les princes, et joue avec la forme décalée de l’alexandrin. Un spectacle malicieux sur le sentiment amoureux qui ouvre des portes et fait réfléchir à la capacité d’écouter ses désirs plutôt que de se plier aux conventions.
La princesse qui n'aimait pas...
Tarif B : 16€ / 13€ / 8€
Représentations adaptées LSF : Samedi 3 et Dimanche 4 février
Mercredi 7
15h
Samedi 3 et 10
16h
Dimanche 4
17h
Création 2016 – France
À partir de 6 ans
Thimothéa, jeune femme bien élevée, princesse de son état, découvre, ébahie, que l’histoire de sa vie a été reléguée au fond d’une poubelle ! Indignée, elle décide de corriger cette erreur et se raconte : à l’âge de vingt ans, la voilà poussée au mariage par ses parents. C’est ainsi que, pleine de bonne volonté, elle entreprend de rechercher l’amour et, selon la coutume, de rencontrer une flopée de courtisans. Mais cela ne se passe pas tout à fait comme prévu…
La pétillante Caroline Guyot porte le spectacle sur ses épaules dans une mise en scène tonique de Johanny Bert. Elle campe cette héroïne naïve et déterminée en quête de sentiments vrais, donnant la parole aux autres personnages au travers d’effigies immobiles.
Les sculptures fabriquées par la plasticienne Vaïssa Favereau à partir d’objets composites, apportent à ce conte moderne un style cartoon. Le texte prend comme point de départ le roman pour la jeunesse écrit par Alice Brière-Haquet, La princesse qui n’aimait pas les princes, et joue avec la forme décalée de l’alexandrin. Un spectacle malicieux sur le sentiment amoureux qui ouvre des portes et fait réfléchir à la capacité d’écouter ses désirs plutôt que de se plier aux conventions.